jeudi 20 février 2014

exposé sur l'avortement













                     Sommaire




  Introduction


      I.            Cause et explication……………................................................3

1.    L’avortement plus ou moins de convenance…………………… ……………….….3

2.      L’avortement sous la pression des normes sociales………………………..……….3

3.      L’avortement pour cause de pauvreté………………………………………………3

4.    L’avortement pour cause de viol…………………………………………….………....4
      5. Contraception …………………………………………………..4
      6. Précarité…………………………………………………………………………………………………5

   II.            Conséquences solution ………………………………………...5

1.        LES SÉQUELLES PHYSIQUES DE L'AVORTEMENT………………………………………………………..…5
2.        RISQUES DE DÉCÈS POUR LA MÈRE ..................................................................................................................5
3.        TROUBLES DE SANTÉ CHEZ LA FEMME………………………………………..……………………………..6
4.        RISQUES POUR LES GROSSESSES ULTÉRIEURES……………………………...……………………………6
5.        RISQUES DE STÉRILITÉ……………………………………………………………………………………………………...…..7
6.        IRRÉGULARITÉS MENSTRUELLES, PERTES ACCRUES ET RAPPORTS SEXUELS DOULOUREUX….6


Conclusion ……………………… ………………………….……….8


 

Introduction


          L'avortement se définit comme l'interruption avant son terme du processus de gestation, elle se vie dans les pays développé et en vois de développement autoriser dans l’un et interdit dans d’Aure l’avortement causse chaque année des milliers de mort et ne laisse personne indifférent c’est dans se cadre que nous portons notre analyse sur les cause et les conséquences de ce fléau dans notre société


                                                     I.            Cause et explication



Les raisons pour lesquelles on décide d’avorter sont très diverses et chaque cas est unique. Voici néanmoins quelques grandes tendances :

1.      L’avortement plus ou moins de convenance.

 La grossesse contrarie les études ou le projet professionnel. Le couple ou la femme considèrent qu’un enfant de plus serait de trop, ou que tout simplement ce n’est pas le moment. Ils préfèrent planifier les choses, atteindre le quota d’enfants au moment voulu.

2.      L’avortement sous la pression des normes sociales.

Dans certains milieux ou pays, la fille non-mariée qui se retrouve enceinte est très mal vue. Elle va donc avorter, en secret ou pas, pour se préserver et ne pas être complètement exclue, voire tuée. Il y a aussi les filles enceintes à 15 ans, qui se sentent trop jeunes et n’ont pas les moyens d’élever sereinement un enfant.


      Une « société » fondée sur la compétition et le matérialisme supporte très mal les handicapés divers et les malades de naissance. Même les parents de bonne volonté sont face à des difficultés énormes s’ils décident de s’occuper d’un enfant non-compétitif. La plupart préfèrent donc avorter si un diagnostic prénatal leur apprend que « leur » enfant ne sera pas « normal ».
3.      L’avortement pour cause de pauvreté.

       Des filles ou des couples vivant dans la misère ne veulent pas alourdir leur fardeau et préfèrent avorter au lieu de n’avoir que l’extrême pauvreté à offrir à leur futur enfant.
Et en général, les raisons suivantes sont les plus évoquées dans le cas de la survenue d’un avortement :
         La peur du manque de ressources économiques, la peur du " qu'en dira-t-on ", celle d'affronter les neuf mois de grossesse et la responsabilité. Et dans de rares cas, des raisons de santé.
Cette peur naît par le manque de confiance  en Dieu. Et le plus bel et le plus grand cadeau d’une mère devrait être son enfant.
4.      L’avortement pour cause de viol
En outre, quand la jeune fille tombe enceinte de son petit copain, certains raisonnements ou concepts de pères ou de tierces personnes face aux lois de Dieu ne doivent pas empêcher qu'un bébé vienne au monde. La vie, c’est Dieu qui la donne et Dieu est au-dessus n'importe quel concept.
Pourquoi avoir peur de neuf mois de grossesse ? La plus grande réelle mission de toute femme est d’être mère et de faire venir des enfants au monde. Si les animaux, qui sont irrationnels, ne se nient pas ce droit, pourquoi la femme doit avoir peur, si c'est une fonction naturelle qui correspond à sa nature de femme?
D’autre part, le viol est un abus horrible avec des effets traumatiques pour beaucoup des victimes. Il n’est d’aucune consolation de savoir qu’une femme qui porte le fruit d'un viol termine par avorter. Les grossesses dans ce cas là, arrivent rarement à terme. Une femme violée qui a écrit anonymement à un magazine dit qu'elle avait pris rendez-vous pour pratiquer un avortement et qu'elle l'avait annulé ensuite. «Je savais que ce que je portais en moi était mon bébé. Maintenant j'ai une fille, une merveilleuse fille et je rends grâce à Dieu de ne pas avoir avorté. »

Précisons aussi que la femme qui les utilise soit en pilules, soit en injections ou en implants, est déjà physiologiquement prête de ne pas avoir un enfant et si elle tombe enceinte, elle se sentira frustrée et dans beaucoup des cas elle se fera avorter. Ces contraceptifs sont une des principales causes de l'avortement de nos jours.

5.      Contraception
    Défaut d'éducation à la sexualité, difficultés d'accès à la contraception : le nombre d'avortements ne diminue pas chez les adolescentes.
Alors que le message de la contraception semble largement diffusé, le nombre des avortements chez les adolescentes ne cesse d'augmenter.
« L'IVG est anonyme et gratuite. La pilule du lendemain est anonyme et gratuite, mais pas la contraception. On marche sur la tête ! » Déplorent les spécialistes.
     Significatif aussi est le chiffre de la contraception d'urgence. La part de pilule du lendemain délivrée aux mineures est de 81 % : et pourtant, malgré cela, les IVG sont là. Une solution qui n'est jamais anodine, ni psychologiquement, ni physiquement.

        Les spécialistes ont tourné leur regard vers l'école. Depuis 2001, l'éducation à la sexualité est prévue. Mais la loi n'est pas appliquée. « On fait comme si la sexualité des adolescents n'existait pas », dénonce le professeur Nisand (gynécologue obstétricien français au CHU de Strasbourg. ), qui s'inquiète du rôle des lobbies religieux ou de parents d'élèves. Un rôle d'autant plus indispensable à jouer par l'Éducation nationale qu'en matière de sexualité, les parents ne sont pas les mieux placés pour aborder la question avec leurs enfants.
6.      Précarité
     « La précarité est l'absence d'une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes et aux familles d'assumer leurs responsabilités élémentaires et de jouir de leurs droits fondamentaux. L'insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des conséquences plus ou moins graves et définitives. Elle conduit le plus souvent à la grande pauvreté quand elle affecte plusieurs domaines de l'existence qu'elle tend à se prolonger dans le temps et devient persistante, qu'elle compromet gravement les chances de reconquérir ses droits et de réassumer ses responsabilités par soi-même dans un avenir prévisible. »

                                                II.            Risque et conséquences


1.      LES SÉQUELLES PHYSIQUES DE L'AVORTEMENT
 
En Hongrie, comme en Tchécoslovaquie, des gynécologues ont constaté des complications dans 2 à 15 % des cas.
Ces pourcentages correspondent à ceux du Royal Collège of Physicians and Surgeons en Grande-Bretagne, qui estime que des complications non-fatales se produisent dans 3 à 15 % des cas, même lorsque l'intervention est pratiquée par des mains expertes. Les séquelles peuvent prendre les formes suivantes : troubles de santé chez la femme, difficultés lors de grossesses ultérieures, stérilité.
2.      RISQUES DE DÉCÈS POUR LA MÈRE

Selon l’O.M.S., 180000 femmes dans le monde meurent chaque année des suites d'un avortement (Le Figaro du 25 juin 1992). Cela donne en moyenne un décès pour 300 avortements. Les causes de décès sont variées : perforations utérines, embolies pulmonaires, accidents d’anesthésie, troubles graves de la coagulation, péritonites, sans oublier les suicides.
Comparativement, des statistiques anglaises de 1969 montrent que les décès causés par des avortements sont 1.5 fois plus nombreux que ceux survenant lors d'accouchements normaux.
Le Dr J. C. Willke constate dans le "Livre rouge de l'avortement"
" L’avortement légal à n'importe quel stade a deux fois plus de chances de tuer la femme qu'un accouchement normal. "
3.      TROUBLES DE SANTÉ CHEZ LA FEMME

Dans 2 à 15 % des cas, la femme peut souffrir de: perforation utérine, déchirure du col de la matrice, rétention placentaire suivie d’hémorragie ou d'infection locale (dans les trompes, elle peut être persistante) ou généralisée (selon Rex Gardner dans Abortion, 10 % des cas). Si l’hémorragie est importante, elle peut produire un état de choc. Une hémorragie et d'autres facteurs peuvent aussi provoquer une coagulation intra-vasculaire disséminée (CIVD).
Autres risques : fièvre, déshydratation, emboisassions du tissu plastique, éruptions cutanées, toxémie et hypertension, irrégularité menstruelle, rapports sexuels douloureux, spasmes bronchiques. Enfin un accroissement significatif du risque du cancer du sein conséquent au bouleversement hormonal causé par l'arrêt brusque et prématuré grossesse.
"Europe Today" du 15 juin 1994 relate les résultats des travaux d'une équipe de l’INSERM qui, d'après une équipe de chercheurs américains affirme que l'avortement multiplie par deux le risque de développer un cancer du sein chez les femmes prédisposées.
Avec l’hystérotomie, il existe aussi un risque d'infection et de phlébite.

4.      RISQUES POUR LES GROSSESSES ULTÉRIEURES

       Une grossesse suivant un avortement peut donner naissance à un enfant mort-né, car le sang de la mère aura fabriqué des anticorps. Augmentation également du taux de grossesses extra-utérines, ce qui nécessite intervention pour sauver la vie de la mère. En Grande-Bretagne, le nombre de grossesses extra-utérines a doublé dans les cinq premières suivant la mise en vigueur de la loi sur l'avortement.
       La proportion des fausses couches et des naissances prématurées augmente après un avortement, suite à des lésions du col de l'utérus (du simple au double, voire davantage). En France, les fausses couches sont trois fois plus fréquentes après deux interruptions de grossesse. En Hongrie, en 1968, le pourcentage des prématurés était de 10 % pour les mères sans passé abortif, de 14 % après une IVU et de 24 % après trois ou plus.
    Plus de prématurés signifiera un risque plus grand d'enfants anormaux, physiquement ou mentalement.
Une hystérotomie longitudinale peut hypothéquer les grossesses et césariennes futures.

5.      RISQUES DE STÉRILITÉ

Il est prouvé que 50 % des stérilités sont consécutives aux avortements provoqués.
      En Hongrie, comme en Tchécoslovaquie, des gynécologues ont constaté que 1 à 2 % des femmes sont rendues stériles par l'avortement. Après un avortement même médicalisé, la conception peut devenir impossible par infection des trompes, adhérences utérines suite à des cicatrices laissées par le curetage, dilatation excessive du col de la matrice. Ainsi la Bulgarie en est venue à interdire généralement l'avortement pour les femmes qui n'ont pas encore d'enfants.
   Ce sont surtout les adolescentes et les femmes qui se font avorter lors d'une première grossesse qui en sont atteintes ; plus tard, lorsqu'un enfant est réellement désiré, la conception se révèle impossible.
      Alexandre Minkowski, directeur du Centre de recherches biologiques néo-natales, a déclaré devant les parlementaires français:
" Il est prouvé de manière absolument certaine qu'après deux à
Trois avortements, non seulement le taux de stérilité augmente,
Mais encore et surtout le taux de prématurité double. "
 
6.      IRRÉGULARITÉS MENSTRUELLES, PERTES ACCRUES ET RAPPORTS SEXUELS DOULOUREUX

   Les gynécologues constatent qu'un nombre croissant de femmes viennent les consulter pour des irrégularités menstruelles, pertes accrues, rapports sexuels douloureux, comptant également parmi les conséquences de l'avortement.
Il y a aussi des complications non signalées. Les séquelles physiques n'étant pas toujours immédiatement apparentes, celles qui ont des difficultés postopératoires se présentent le plus souvent chez un autre médecin que l'avorteur. Celui-ci reste donc ignorant des conséquences de l'avortement qu'il a effectué.
 Les conséquences à long terme, telles que la stérilité, ne sont pratiquement jamais signalées au chirurgien


Conclusion
L’avortement est un fléau qui  même pratiquer dans les main de professionnel  est un risque pour celle qui vienne avorté   de cause multiple elle a des conséquences plus ou moins grave pour la femme .

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