Sommaire
Introduction
I.
Cause et
explication……………................................................3
1. L’avortement plus ou moins de convenance…………………… ……………….….3
2.
L’avortement sous la pression des
normes sociales………………………..……….3
3.
L’avortement pour cause de pauvreté………………………………………………3
4.
L’avortement pour
cause de viol…………………………………………….………....4
5. Contraception
…………………………………………………..4
6. Précarité…………………………………………………………………………………………………5
II.
Conséquences
solution ………………………………………...5
1.
LES SÉQUELLES PHYSIQUES DE
L'AVORTEMENT………………………………………………………..…5
2.
RISQUES DE DÉCÈS POUR LA MÈRE
..................................................................................................................5
3.
TROUBLES DE SANTÉ CHEZ LA FEMME………………………………………..……………………………..6
4.
RISQUES POUR LES GROSSESSES ULTÉRIEURES……………………………...……………………………6
5.
RISQUES DE STÉRILITÉ……………………………………………………………………………………………………...…..7
6.
IRRÉGULARITÉS MENSTRUELLES, PERTES ACCRUES ET
RAPPORTS SEXUELS DOULOUREUX….6
Conclusion ……………………… ………………………….……….8
Introduction
L'avortement se définit comme l'interruption avant son terme du processus de gestation, elle se vie dans les pays développé et en vois de développement autoriser dans l’un et interdit dans d’Aure l’avortement causse chaque année des milliers de mort et ne laisse personne indifférent c’est dans se cadre que nous portons notre analyse sur les cause et les conséquences de ce fléau dans notre société
I.
Cause et
explication
Les raisons pour lesquelles on décide d’avorter sont très diverses et chaque cas est unique. Voici néanmoins quelques grandes tendances :
1.
L’avortement plus ou moins de
convenance.
La grossesse contrarie les études ou le projet
professionnel. Le couple ou la femme considèrent qu’un enfant de plus serait de
trop, ou que tout simplement ce n’est pas le moment. Ils préfèrent planifier
les choses, atteindre le quota d’enfants au moment voulu.
2.
L’avortement sous la pression des
normes sociales.
Dans
certains milieux ou pays, la fille non-mariée qui se retrouve enceinte est très
mal vue. Elle va donc avorter, en secret ou pas, pour se préserver et ne pas
être complètement exclue, voire tuée. Il y a aussi les filles enceintes à 15
ans, qui se sentent trop jeunes et n’ont pas les moyens d’élever sereinement un
enfant.
Une
« société » fondée sur la compétition et le matérialisme supporte très mal les
handicapés divers et les malades de naissance. Même les parents de bonne
volonté sont face à des difficultés énormes s’ils décident de s’occuper d’un
enfant non-compétitif. La plupart préfèrent donc avorter si un diagnostic
prénatal leur apprend que « leur » enfant ne sera pas « normal ».
3.
L’avortement pour cause de pauvreté.
Des filles ou des couples vivant dans la
misère ne veulent pas alourdir leur fardeau et préfèrent avorter au lieu de
n’avoir que l’extrême pauvreté à offrir à leur futur enfant.
Et en général, les raisons suivantes sont les plus évoquées dans le cas
de la survenue d’un avortement :
La peur du manque de ressources
économiques, la peur du " qu'en dira-t-on ", celle d'affronter les
neuf mois de grossesse et la responsabilité. Et dans de rares cas, des raisons
de santé. Cette peur naît par le manque de confiance en Dieu. Et le plus bel et le plus grand cadeau d’une mère devrait être son enfant.
4. L’avortement pour cause de viol
En outre,
quand la jeune fille tombe enceinte de son petit copain, certains raisonnements
ou concepts de pères ou de tierces personnes face aux lois de Dieu ne doivent
pas empêcher qu'un bébé vienne au monde. La vie, c’est Dieu qui la donne et
Dieu est au-dessus n'importe quel concept. Pourquoi avoir peur de neuf mois de grossesse ? La plus grande réelle mission de toute femme est d’être mère et de faire venir des enfants au monde. Si les animaux, qui sont irrationnels, ne se nient pas ce droit, pourquoi la femme doit avoir peur, si c'est une fonction naturelle qui correspond à sa nature de femme?
D’autre part, le viol est un abus horrible avec des effets traumatiques pour beaucoup des victimes. Il n’est d’aucune consolation de savoir qu’une femme qui porte le fruit d'un viol termine par avorter. Les grossesses dans ce cas là, arrivent rarement à terme. Une femme violée qui a écrit anonymement à un magazine dit qu'elle avait pris rendez-vous pour pratiquer un avortement et qu'elle l'avait annulé ensuite. «Je savais que ce que je portais en moi était mon bébé. Maintenant j'ai une fille, une merveilleuse fille et je rends grâce à Dieu de ne pas avoir avorté. »
Précisons aussi que la femme qui les utilise soit en pilules, soit en injections ou en implants, est déjà physiologiquement prête de ne pas avoir un enfant et si elle tombe enceinte, elle se sentira frustrée et dans beaucoup des cas elle se fera avorter. Ces contraceptifs sont une des principales causes de l'avortement de nos jours.
5. Contraception
Défaut d'éducation à la sexualité,
difficultés d'accès à la contraception : le nombre d'avortements ne diminue pas
chez les adolescentes.
Alors que le message de la
contraception semble largement diffusé, le nombre des avortements chez les
adolescentes ne cesse d'augmenter.« L'IVG est anonyme et gratuite. La pilule du lendemain est anonyme et gratuite, mais pas la contraception. On marche sur la tête ! » Déplorent les spécialistes.
Significatif aussi est le chiffre de la
contraception d'urgence. La part de pilule du lendemain délivrée aux mineures
est de 81 % : et pourtant, malgré cela, les IVG sont là. Une solution qui n'est
jamais anodine, ni psychologiquement, ni physiquement.
Les spécialistes ont tourné leur
regard vers l'école. Depuis 2001, l'éducation à la sexualité est prévue. Mais
la loi n'est pas appliquée. « On fait comme si la sexualité des adolescents
n'existait pas », dénonce le professeur Nisand (gynécologue obstétricien
français au CHU de Strasbourg. ), qui s'inquiète du rôle des lobbies religieux
ou de parents d'élèves. Un rôle d'autant plus indispensable à jouer par
l'Éducation nationale qu'en matière de sexualité, les parents ne sont pas les
mieux placés pour aborder la question avec leurs enfants.
6. Précarité
« La précarité est l'absence
d'une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes et aux familles
d'assumer leurs responsabilités élémentaires et de jouir de leurs droits
fondamentaux. L'insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et
avoir des conséquences plus ou moins graves et définitives. Elle conduit le
plus souvent à la grande pauvreté quand elle affecte plusieurs domaines de
l'existence qu'elle tend à se prolonger dans le temps et devient persistante,
qu'elle compromet gravement les chances de reconquérir ses droits et de réassumer
ses responsabilités par soi-même dans un avenir prévisible. »
II.
Risque et conséquences
1.
LES SÉQUELLES
PHYSIQUES DE L'AVORTEMENT
En Hongrie, comme en Tchécoslovaquie, des
gynécologues ont constaté des complications dans 2 à 15 % des cas.
Ces pourcentages correspondent à ceux du Royal Collège
of Physicians and Surgeons en Grande-Bretagne, qui estime que des complications
non-fatales se produisent dans 3 à 15 % des cas, même lorsque l'intervention
est pratiquée par des mains expertes. Les séquelles peuvent prendre les formes
suivantes : troubles de santé chez la femme, difficultés lors de grossesses
ultérieures, stérilité.
2.
RISQUES DE DÉCÈS POUR LA MÈRE
Selon l’O.M.S., 180000 femmes dans le monde
meurent chaque année des suites d'un avortement (Le Figaro du 25 juin 1992).
Cela donne en moyenne un décès pour 300 avortements. Les causes de décès
sont variées : perforations utérines, embolies pulmonaires, accidents
d’anesthésie, troubles graves de la coagulation, péritonites, sans oublier les
suicides.
Comparativement, des statistiques anglaises de
1969 montrent que les décès causés par des avortements sont 1.5 fois plus
nombreux que ceux survenant lors d'accouchements normaux.
Le Dr J. C. Willke constate dans le "Livre
rouge de l'avortement"
" L’avortement
légal à n'importe quel stade a deux fois plus de chances de tuer la femme qu'un
accouchement normal. "
3.
TROUBLES DE
SANTÉ CHEZ LA FEMME
Dans 2 à 15 % des cas, la femme peut souffrir de:
perforation utérine, déchirure du col de la matrice, rétention placentaire
suivie d’hémorragie ou d'infection locale (dans les trompes, elle peut être
persistante) ou généralisée (selon Rex Gardner dans Abortion, 10 % des
cas). Si l’hémorragie est importante, elle peut produire un état de choc. Une
hémorragie et d'autres facteurs peuvent aussi provoquer une coagulation
intra-vasculaire disséminée (CIVD).
Autres risques : fièvre, déshydratation, emboisassions
du tissu plastique, éruptions cutanées, toxémie et hypertension, irrégularité
menstruelle, rapports sexuels douloureux, spasmes bronchiques. Enfin un
accroissement significatif du risque du cancer du sein conséquent au
bouleversement hormonal causé par l'arrêt brusque et prématuré grossesse.
"Europe Today" du 15 juin 1994
relate les résultats des travaux d'une équipe de l’INSERM qui, d'après une
équipe de chercheurs américains affirme que l'avortement multiplie par deux le
risque de développer un cancer du sein chez les femmes prédisposées.
Avec l’hystérotomie, il existe aussi un risque
d'infection et de phlébite.
4.
RISQUES POUR
LES GROSSESSES ULTÉRIEURES
Une
grossesse suivant un avortement peut donner naissance à un enfant mort-né, car
le sang de la mère aura fabriqué des anticorps. Augmentation également du taux
de grossesses extra-utérines, ce qui nécessite intervention pour sauver la vie
de la mère. En Grande-Bretagne, le nombre de grossesses extra-utérines a doublé
dans les cinq premières suivant la mise en vigueur de la loi sur l'avortement.
La proportion des fausses couches et des
naissances prématurées augmente après un avortement, suite à des lésions du col
de l'utérus (du simple au double, voire davantage). En France, les fausses
couches sont trois fois plus fréquentes après deux interruptions de grossesse.
En Hongrie, en 1968, le pourcentage des prématurés était de 10 % pour les mères
sans passé abortif, de 14 % après une IVU et de 24 % après trois ou plus.
Plus de
prématurés signifiera un risque plus grand d'enfants anormaux, physiquement ou
mentalement.
Une hystérotomie longitudinale peut hypothéquer
les grossesses et césariennes futures.
5.
RISQUES DE STÉRILITÉ
Il est prouvé que 50 % des stérilités sont
consécutives aux avortements provoqués.
En
Hongrie, comme en Tchécoslovaquie, des gynécologues ont constaté que 1 à 2 %
des femmes sont rendues stériles par l'avortement. Après un avortement même
médicalisé, la conception peut devenir impossible par infection des trompes,
adhérences utérines suite à des cicatrices laissées par le curetage, dilatation
excessive du col de la matrice. Ainsi la Bulgarie en est venue à interdire
généralement l'avortement pour les femmes qui n'ont pas encore d'enfants.
Ce sont
surtout les adolescentes et les femmes qui se font avorter lors d'une première
grossesse qui en sont atteintes ; plus
tard, lorsqu'un enfant est réellement désiré, la conception se révèle
impossible.
Alexandre
Minkowski, directeur du Centre de recherches biologiques néo-natales, a déclaré
devant les parlementaires français:
" Il est prouvé
de manière absolument certaine qu'après deux à
Trois avortements, non
seulement le taux de stérilité augmente,
Mais encore et surtout le
taux de prématurité double. "
6.
IRRÉGULARITÉS MENSTRUELLES, PERTES ACCRUES ET
RAPPORTS SEXUELS DOULOUREUX
Les
gynécologues constatent qu'un nombre croissant de femmes viennent les consulter
pour des irrégularités menstruelles, pertes accrues, rapports sexuels
douloureux, comptant également parmi les conséquences de l'avortement.
Il y a aussi des complications non signalées. Les
séquelles physiques n'étant pas toujours immédiatement apparentes, celles qui
ont des difficultés postopératoires se présentent le plus souvent chez un autre
médecin que l'avorteur. Celui-ci reste donc ignorant des conséquences de
l'avortement qu'il a effectué.
Les
conséquences à long terme, telles que la stérilité, ne sont pratiquement jamais
signalées au chirurgien
Conclusion
L’avortement est un fléau
qui même pratiquer dans les main de
professionnel est un risque pour celle
qui vienne avorté de cause multiple
elle a des conséquences plus ou moins grave pour la femme .
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